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D’origine, l’Impreza est équipée d’un [[:technique:freins:cale]]|[[:technique:freins:cale]]|maître-cylindre]] de freinage (fixé sur une tôle métallique séparant le compartiment [[technique:moteur]] de l’habitacle. Or, ce type de montage présente un petit inconvénient : cette tôle est flexible et se déforme (déformation élastique, rassurez-vous !). Cette déformation, qui intervient en début de freinage, rallonge un petit peu la course de la pédale de freins et diminue donc son efficacité en terme de mordant. Je ne parlerais pas ici du mordant du freinage lié à l’interaction plaquette / disque, mais du mordant ressenti par le conducteur. En effet, la sensation d’une course de pédale plus courte – à effort appliqué égal – donne l’impression que le freinage est amélioré. Il n’en est rien, mais par contre, on obtient un léger gain sur la distance de freinage (rappelez-vous le Code de la Route : distance de freinage = distance parcourue par la voiture entre la perception de l’obstacle et l’immobilisation totale du véhicule). Le rôle de la [[:technique:freins:cale|[[:technique:freins:cale]]|[[:technique:freins:cale]]|cale de maître cylindre]] est justement de caler ce [[:technique:freins:cale|maître-cylindre]] pour qu’il ne bouge plus en phase de début de freins. Pour ce faire, elle va créer une liaison rigide entre l’extrémité du [[:technique:freins:cale|[[:technique:freins:cale]]|[[:technique:freins:cale]]|[[:technique:freins:cale|maître cylindre]] et la carrosserie du passage de la suspension avant gauche.

Perrin propose une cale [[:technique:freins:cale|cale|maître cylindre]] renforcée. Le montage ce cette câle est expliquée ici

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